La MACHINE à RÉCRIRE est un dispositif articulant des opérations qui interviennent dans le champ fondamental de l'écriture et de la lecture.

 

Conduites par le dénommé Jean-Christophe Tournière, ces opérations consistent surtout, pour l'heure, en la rédaction d'articles, l'animation d'ateliers d'écriture, et une élaboration théorique sous-jacente.

 

La spécificité de ce dispositif tient à ce que ses opérations s'exercent sur la base d'une discipline pratique et théorique, à ce jour encore très méconnue, qui a pris le nom de textique, et que JCT étudie et pratique depuis une vingtaine d'années.

 

À un niveau général, La MACHINE à RÉCRIRE peut être qualifiée de rationaliste: elle lutte dans son champ (celui de l'écriture et de la lecture donc) contre toutes les formes d'obscurantisme, vise à éliminer les erreurs et les confusions, et à forger des propos aussi justes et clairs que possible.

 

À un niveau particulier, La MACHINE à RÉCRIRE peut être qualifiée de transformatrice, et plus précisément d'amélioratrice: elle pose comme principe que nul écrit n'est situé hors du champ de la critique, et que par suite tout écrit, à petite ou grande échelle, est potentiellement améliorable.

 

En somme, La MACHINE à RÉCRIRE poursuit deux objectifs: œuvrer, par une pratique réfléchie de l'écriture et de la récriture guidées par une théorie rigoureuse, à la compréhension commune, et œuvrer, par une pratique réfléchie de la transmission de cette pratique et de cette théorie, à ce qu'un maximum de gens puissent s'armer intellectuellement et scripturalement pour nourrir, à leur tour, cette compréhension commune.